Les années 1970 à 2000 ont été marquées par un transfert significatif des déplacements de personnes du transport en commun (bus, autocars, trams, métro et train) vers la route (voiture et moto). Cette croissance importante a vu, en Belgique, la part modale de la route grimper de 65 % à plus de 81 %, la part du rail chutant de 12 % à 6 % et celle du transport en commun (bus, autocars, trams et métro) de 22 % à 11 %, soit une baisse assez vertigineuse de près de 50 % (Figure 1).
Un transfert similaire (...)
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