Dans le débat sur le tram liégeois, peut-on encore défendre des alternatives de fond — c’est-à-dire un tracé partiellement alternatif — au projet qui a fait l’objet d’une décision gouvernementale ? Selon nous, c’est non seulement possible mais indispensable.
Avant de venir à l’exposé circonstancié des raisons qui motivent ce point de vue, il me faut cependant préciser d’où je parle. L’association urbAgora, au nom de laquelle je m’exprime, est née en 2007, à la suite d’une pétition qui avait rassemblé plus de (...)
(lire la suite)